J52 – Hospital de Orbigo – Rabanal del Camino 38 km
828 juin 2013 par Jean-Claude
J’ai quitté San Miguel un peu avant 7h avec Guy et Norma.
Après 2 h de route, nous avons partagé un dernier café sur la magnifique place d’Astorga.
Un détour par la cathédrale,
et son extravagant portique baroque.
Qui semble souffrir de son voisin, le palais épiscopal, et ses lignes néo-gothiques délirantes, sorties de l’imagination de Gaudi.
A la sortie de la ville, le terrain prend de la hauteur.
Le relief plus vallonné annonce un changement radical avec les Monts de Leòn qui se profilent droit devant nous.
Guy et Norma ont décidé de s’arrêter au bout de 25 Km à Santa Catalina. Moi, de continuer.
Le chemin nous rassemblera à nouveau, s’il le décide.
Ultreia !
j’ai parcouru 1 296 km, il m’en reste 228 !
A suivre ….
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Que d’émotions encore!Tes étapes sont de plus en plus longues! Sur ta photo, tu rayonnes dans tous les sens du terme…Dans 8 jours , tu y seras!! Vraiment, tu nous épates !Tout à l’air si simple quand on te lit, alors que tes pieds avancent « pas à pas »(heureusement!!!),alors que ton sac à dos te tiraille les épaules…tu es un vrai Jacquet et vivement le moment où tu nous feras partager ton aventure en photos et en récit de vive voix…
Donc, bon courage pour la suite !
Bises amicales !
Momo J.Pi
Hello amigos,
C’est vrai que les étapes s’allongent selon la topo du terrain.
Et je préfère partager
les couleurs, les images et les émotions,
plutôt que les bobos et les coups de calgon !
(C’est pour la rime )
Bises
Un ami t’a demandé précédemment comment tu comptais rentrer. Ah ! Refaire le chemin en sens inverse ! Encore une autre aventure pour ceux qui l’ont faite. Si c’est possible, je te le souhaite. Sinon, si je peux me permettre un ultime conseil, c’est de ne pas revenir trop vite après toutes ces journées de quasi solitude car le retour à la société est rude. Aussi, les 24h que dure le retour en bus avec un direct Santiago-Metz, ne sont pas de trop. Et puis faire les derniers kilomètres à pieds juste pour voir apparaître lentement la maison devant toi comme tu as vu arriver l’albergue salvatrice. Ensuite ce sont les retrouvailles et les reconnections à la vie réelle, quelquefois difficiles. Et là s’installent alors insidieusement les regrets du Chemin.
Comme toujours depuis le début je suis admirative de voir qu’au bout de tant de fatigue tu trouves encore le temps de faire de si belles photos à partager et surtout d’écrire les légendes qui vont avec. Merci et gros bisous pour le reste de ton périple.
Je prends le train avant 10h lundi et je ne sais pas à quel moment je trouverai un ordi pour te retrouver.
ULTREIA E SUSEIA.
The world is small,
À bientôt, un jour prochain. C’est sûr.
Amitiés
Jc
Merci Jean-Claude pour ce magnifique livre d’aventure.
Tu me fais voyager à travers tes récits. Quel enrichissement.
Ton courage te permet d’avancer vers l’aboutissement de ce périple.
Je pense à toi et te fais des Bisous
Hello Michèle,
Je suis heureux que tu apprécies les balades. Sur mille images, je dois toujours faire un choix. J’espère un jour pouvoir partager les autres. Bises
Jc
comme tous tes amis et les miens nous sommes quand meme epoustouflés par ton courage(pour ne pas dire,ton exploit)tes photos et tes commentaires nous tiennent toujours en haleine.bravo frangin.
biz de nous 2.
Salut les bronzés,
J’espère que le retour à la vraie vie, n’est pas trop dur !
Sachez que l’Espagne n’est pas finie pour tout le monde !!
À bientôt
Bises
Jc